VERNISSAGE / OPENING

Citation
LANCEMENT DU LIVRE ET VERNISSAGE DE L’EXPOSITION
LAUNCH OF THE BOOK AND OPENING OF THE EXHIBITION

Mon voyage a commencé par Brasília, puis Chandigarh : deux villes où j’ai lié de fortes amitiés. En réalisant l’ouvrage URBAN UTOPIAS, incluant La Grande Motte, j’ai rencontré deux femmes exceptionnelles : Carole Lenfant et Michèle Goalard qui ont l’une et l’autre exprimé la poésie de ces « villes rêvées ».

Stéphane Herbert

1 octobre 2015

Carole Lenfant

Carole Lenfant

Fabienne Chevallier + Carole Lenfant + Michèle Goalard

Fabienne Chevallier + Carole Lenfant + Michèle Goalard

Lucinda Groueff + Michèle Goalard + Stéphane Herbert + Carole Lenfant

Lucinda Groueff + Michèle Goalard + Stéphane Herbert + Carole Lenfant

Michèle Goalard + Stéphane Herbert

Michèle Goalard + Stéphane Herbert

 

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EDITO

En passant

EDITO : URBAN UTOPIAS, pourquoi pas ?!

par Cristina L’Homme, Globe Vision

Il faut certainement croire en une forme d’utopie pour se lancer dans un tel projet… Lorsque Stéphane Herbert, photographe, a commencé à travailler sur Brasília il y a presque vingt ans, le sujet n’était pas franchement « tendance ». Ce n’est qu’en 2005 que le magazine Grands Reportages publiait son sujet. Stéphane a ensuite poursuivi sa recherche sur les « utopies urbaines » en se rendant à Chandigarh en Inde. Ses multiples séjours dans ces deux capitales de la modernité lui ont permis de penser une exposition en forme de vis-à-vis, qui a été présentée dans une dizaine de villes indiennes, puis au Musée National de Brasília en 2010. En France, l’itinérance a commencé la même année par Firminy (Loire) où se trouve le patrimoine Le Corbusier le plus important d’Europe et où Stéphane a grandi.

Il y a un an, son objectif s’est focalisé sur une autre « utopie réalisée » : La Grande Motte, sur le littoral languedocien dans le Sud de la France. Une ville qui n’a pas le statut et le prestige de ses illustres « grandes soeurs » indienne et brésilienne, mais… pourquoi pas ?! Le choix est assumé : La Grande Motte, conçue comme une oeuvre anticonformiste vouée à un « idéal solaire » dont l’originalité est empreinte d’allégories philosophiques, n’est-elle pas aussi un manifeste de la modernité architecturale ? Ces trois « villes parcs » ne correspondent-elles pas à un « rêve d’urbanité » en ce début de XXIe siècle ? A ces questions de fond, le projet URBAN UTOPIAS propose une perception non-figée du patrimoine moderne au travers d’un livre et d’une exposition articulés comme de simples promenades urbaines dans ces « villes rêvées, villes habitées ». Pour bien les apprécier, le lecteur ou le visiteur devra toutefois s’affranchir de ses repères habituels sur la ville ou l’architecture en se laissant surprendre par la « symbolique architectonique » de La Grande Motte, l’ « esthétique de la fluidité » de Brasília ou la « force des volumes » de Chandigarh. Les images de ce triptyque jouent avec l’ombre, trace sur la pierre flexible qu’est le béton, trace du temps, mouvement humain au sein de « décors heureux ».

Tel un « voyage dans le voyage », l’approche photographique de Stéphane Herbert est prolongée par les textes poétiques et merveilleux de Carole Lenfant, co-auteur de l’ouvrage et commissaire de l’exposition. Ses mots, apposés aux images avec délicatesse et audace, sont le fruit d’une belle complicité. Un grand merci à la Ville de La Grande Motte et à son Office de Tourisme, qui ont donné carte blanche à ce duo pour réaliser le livre « villes rêvées, villes habitées / URBAN UTOPIAS / La Grande Motte – Brasília – Chandigarh », édité par Somogy éditions d’Art, et pour présenter l’exposition éponyme sur la péniche Louise Catherine / Le Corbusier, un lieu des plus insolites à Paris !

Les sujets touchant aux questions humaines et urbaines font partie des missions privilégiées de l’association Globe Vision. Le projet URBAN UTOPIAS, s’appuyant sur l’interaction entre photos et poésie, permet une approche originale sur ces trois « villes solaires » que sont La Grande Motte, Brasília et Chandigarh.

EDITO: URBAN UTOPIAS, why not?!

by Cristina L’Homme, Globe Vision

One must believe in a kind of utopia to pursue such a project… When Stéphane Herbert, photographer, started work in Brasília, almost 20 years ago, urban utopianism was not as widely spoken about as it is today. Only in 2005, the magazine Grands Reportages published his work. Stéphane, then pursued his research on ‘urban utopias’ by going to Chandigarh in India. His multiple stays in these two capitals of modernity inspired him to create an exhibition. It has been presented in a dozen cities in India and in the National Museum of Brasília in 2010. That year the exhibition moved to France showing first in Firminy (Loire), where Le Corbusier left his most important legacy in Europe and is where Stéphane grew up.

A year ago, he turned his lens to another ‘realized utopia’: La Grande Motte, on the Languedoc coast in the South of France. This city does not share the same status as its celebrated Indian and Brazilian ‘older sisters’. But… why not? La Grande Motte was conceived as a non-conformist work of art, aimed at developing a ‘solar ideal’ borrowed from philosophical allegories. Isn’t this also a manifesto in Modern architectural history? Do these three ‘garden cities’ correspond to an urbanitas dream at the beginning of the twenty first century? To these questions, the project URBAN UTOPIAS offers a fluid view on our modern heritage. The book and exhibition at first seem like a series of simple urban walks in these ‘dreamed cities, lived cities’. However to appreciate these walks the viewer needs to overcome ‘landmark reading’ of the city architecture, allowing themselves to be surprised by the ‘architectonic symbolism’ in the Grande Motte, the ‘fluid aesthetic’ of Brasília and the ‘volume strength’ of Chandigarh. The tryptic images play with shadows, drawing out the flexibility of concrete, marking time and human movement within ‘happy décors’.

Like a ‘voyage within a voyage’, the photographic approach of Stephane Herbert is complemented by the insightful and poetic texts of Carole Lenfant, co-author of the book and curator of the exhibition. Her words which sit alongside the images are subtle and bold, the fruits of a beautiful alliance. Thanks to the city of La Grande Motte and its Tourism Office, who has given “carte blanche” to this duet for working on the book « villes rêvées, villes habitées / URBAN UTOPIAS / La Grande Motte – Brasília – Chandigarh », published by Somogy éditions d’Art, and to present the exhibition on the barge Louise Catherine / Le Corbusier, one of the most unusual places in Paris!

The subject matter touches on human and urban question which are the focus of the Globe Vision organization. The project URBAN UTOPIAS, with its interaction between photographs and poetry offer an original approach to these three ‘solar cities’ which are La Grande Motte, Brasília and Chandigarh.

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CRÉATION SONORE / SOUND DESIGN

Son

Des mondes et des ciels au-dessus de nous (28’24’’)
Fabrice Jünger

Spécifiquement composée pour l’exposition URBAN UTOPIAS, cette œuvre musicale contemporaine est un voyage ascensionnel. Fabrice Jünger s’est imprégné des photographies de Stéphane Herbert et des textes poétiques de Carole Lenfant. Entre réalité terrestre et imaginaire, il propose d’expérimenter autrement les beautés naturelles et les richesses culturelles de trois villes modernes.

Flûtiste de l’Ensemble Orchestral Contemporain de Lyon, Fabrice Jünger développe parallèlement une activité d’interprète, de compositeur et de pédagogue. Il est l’auteur de pièces de concert reposant sur des instrumentations acoustiques et électroniques ainsi que d’œuvres associant musique et visuel.

Voix française : Carole Lenfant
Voix brésilienne : Natan Barreto
Voix indienne : Meenu Enfraze

  ECOUTER UN EXTRAIT (08min)

The worlds and the skies above us (28’24’’)
Fabrice Jünger

Specifically composed for the exhibition URBAN UTOPIAS, this contemporary musical work is an upward journey. Fabrice Jünger has been inspired by the photographs of Stéphane Herbert and the poetic texts of Carole Lenfant. Between earthly reality and imaginary, he offers to experiment the natural beauty and cultural richness of three modern cities.

Flutist of the Ensemble Orchestral Contemporain in Lyon, Fabrice Jünger is also developing an activity of performer, composer, and teacher. He is the author of concert pieces based on acoustic and electronic instrumentation and works combining music and visual.

French voice: Carole Lenfant
Brazilian voice: Natan Barreto
Indian voice: Meenu Enfraze

  LISTEN TO AN EXCERPT (08min)

Cosmos, à hauteur d’homme

par Claude-Marin Herbert, musicologue, chargé de collections musiques à la Bibliothèque publique d’information du Centre Pompidou

« Des mondes et des ciels au-dessus de nous » : le poème de Carole Lenfant que le compositeur Fabrice Jünger a choisi comme titre résonne, sur le flanc tribord de la péniche, avec une scène de la vie quotidienne à La Grande Motte photographiée par Stéphane Herbert – deux silhouettes se mouvant au sein d’un volume architectural relativement restreint (un patio). Mais un volume où tout l’air, toute la pierre, l’eau, la verdure et la lumière semblent en co-présence. Entre le caractère presque commun de la scène et l’inspiration cosmique du poème, le contraste, voire l’opposition, ne sont qu’apparents : l’architecture n’a-t-elle pas pour dessein d’articuler la vie humaine à des données redevenues commensurables – des mondes, des ciels dont chacun, grâce à elle, peut prendre à nouveau pleine mesure ?

03 LA GRANDE MOTTE © Stéphane Herbert

« Des mondes et des ciels au-dessus de nous« , la pièce musicale de Fabrice Jünger combinant voix parlées, paysages sonores et textures synthétiques abstraites, fonctionne sur un principe de tuilage analogue entre ces différentes échelles : intime, extime, cosmique. Comme sur un grand nombre des photographies prises par Stéphane Herbert, c’est la présence humaine qui soustrait le monde à l’indifférence, et l’univers à son possible néant. Les trois voix (l’une masculine, les deux autres féminines) qui se répondent, en trois langues (français, portugais du Brésil, anglais de l’Inde), traversent en passantes mi-introspectives mi-contemplatives les paysages sonores bruissants du flot de la rue, de la fête, du tintement des cloches et de la rumeur des villes. Dans un registre plus symbolique, les harmonies tantôt extrêmement consonantes, tantôt bien plus mouvantes (rappelant le style d’un Brian Eno qui n’aurait pas renoncé à peupler ses « ambiances ») figurent une sorte d’espace plastique aux teintes nocturnes, profondes.

Consciemment ou non, ces trois strates ne renvoient-elles pas à la scénographie globale de l’exposition ? Dans le rôle de la voix humaine – le « nous » du poème -, les photographies. Dans celui de l’immémorial cosmique – des « ciels »-, la lumière entrant par les baies vitrées de la péniche, les eaux du fleuve sur lequel elle flotte. Dans celui des « mondes » : la ville alentour, le bruit du métro aérien, des lieux branchés voisins, les visiteurs de l’exposition et tout ces mondes qu’ils transportent – ce qui les transporte.

Création sonore « Des mondes et des ciels au-dessus de nous » (28’24’’) de Fabrice Jünger, composée pour l’exposition « villes rêvées, villes habitées / URBAN UTOPIAS / La Grande Motte – Brasília – Chandigarh »

  ECOUTER UN EXTRAIT / LISTEN TO AN EXCERPT (08min)

Un voyage dans le voyage

par Stéphane Herbert, photographe

Enfant écoutant la pièce musicale de Fabrice Jünger, soundtrack de l’exposition URBAN UTOPIAS

Fabrice Jünger a parfaitement exprimé l’idée d’un voyage, d’une méditation depuis les plages de la Méditerranée jusqu’au Brésil et jusqu’en Inde. Alors que nous sommes par exemple sur un des « autels » de la Promenade des Vents au coeur de La Grande Motte, il invite un puissant cantique de la culture afro-brésilienne, un chant appelant la divinité de la mer Odoyá Yemanjá. Nous pouvons par ailleurs sentir la densité humaine de l’Inde matricielle. Et que dire de l’arrangement instrumental avec ses variations, ses envolées, ses transitions, ses intrusions, ses résonances, ses percées, ses rappels, ses graves, ses aigus, … Toutes ces sonorités, rythmées par la poésie de Carole Lenfant, transportent littéralement. La conclusion en forme d’apothéose prolonge le voyage dans la grâce d’une projection… Dans la nuit… Dans un espace organique… Dans l’inconscient… A l’invitation des cloches… De la cloche de l’église de Saint-Augutin ? A moins que ce ne soit celle de la chapelle Nossa Senhora de Fatima ? Puis de la ghanta de Durga pour entrer dans le Gange ou dans le son parfait du Om. Pour enfin retourner à la mer. Pour retourner au divin mystérieux et au silence après les « bruissements » du reptile et de la vague.

A la dernière page de notre livre, nous avons retenu une citation d’Ornette Coleman pour conclure sur une note musicale : « Beauty is a rare thing ». Merci infiniment à Fabrice Jünger d’avoir participé au projet URBAN UTOPIAS avec cette belle soundtrack résonnant magnifiquement dans la nef de la péniche « Louise-Catherine / Le Corbusier » qui accueille notre exposition sur les berges parisiennes en ce mois d’octobre 2015. Grand merci également à Carole Lenfant (poésie + voix française), Natan Barreto (voix brésilienne) et Meenu Enfraze (voix indienne).

Création sonore « Des mondes et des ciels au-dessus de nous » (28’24’’) de Fabrice Jünger, composée pour l’exposition « villes rêvées, villes habitées / URBAN UTOPIAS / La Grande Motte – Brasília – Chandigarh »

  ECOUTER UN EXTRAIT / LISTEN TO AN EXCERPT (08min)

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ART-VIDÉO / VIDEO ART

Vidéo

RACINES / De l’utilisation de l’art dans la ville (18’16’’)
Lucinda Groueff

Commentaire : Michèle Goalard

Comment enraciner une ville nouvelle ? Pour Jean Balladur, il était important de donner une âme à La Grande Motte. Les sculptures dites à valeur d’usages, en seraient à la fois l’ancre et l’accès. Quatre d’entre-elles, Les Tramontanes, Le Labech, Les Vagues et La Terre émergent du sol tout en insinuant un mouvement perpétuel, mutation permanente d’un espace vivant ?

Architecte urbaniste, Lucinda Groueff utilise le médium vidéo comme outil d’analyse du territoire à travers les modes de vie.

ROOTS / On the usage of art in the city (18’16’’)
Lucinda Groueff

Commentary: Michèle Goalard

How is it possible for a newly built city to take root? For Jean Balladur, La Grande Motte required a soul. The sculptures, said to be functional, are at once claimed to be the city’s anchor and access point. Four of them, Les Tramontanes, Le Labech, Les Vagues and La Terre emerge from the ground in perpetual movement. Can they be considered as the permanent mutation of a living environment?

Architect and urban planner Lucinda Groueff uses the medium of video as a tool of analysis to access the multiple ways in which the environment is lived-in and explored.

Vacillements
autour de Racines de Lucinda Groueff

par Anne Jarrigeon, anthropologue, vidéaste, maîtresse de conférence à l’École d’urbanisme de Paris

A l’arrière de la péniche Louise-Catherine, dans le creux sombre de la cale, la vidéo de Lucinda Groueff, projetée à même le mur, fait rayonner l’incandescente lumière de La Grande Motte. Le blanc éblouissant des constructions et sculptures de Jean Balladur et Michèle Goalard s’étire et semble, sur le bord accidenté de l’image, repeindre le béton brut du bateau. Transfert de lumière, transfert de couleur sur ce matériau de prédilection utopique, ici comme là-bas.

Succession de longs plans fixes, l’œuvre de Lucinda Groueff apparaît d’abord comme une quasi photographie. Le visiteur curieux se penchera pour mieux voir. Il se saisira peut-être des casques à disposition pour se soustraire à l’ambiance sonore de l’exposition et se retrouver sur les bords de la Méditerranée. Crissement des pas dans le sable des allées, souffle du vent, rires d’enfants recomposeront pour lui l’atmosphère de la péniche. Peut-être même aura-t-il envie de s’arrêter tout à fait, de prendre le temps d’attendre la séquence suivante et ressentira-t-il alors le bateau tanguer discrètement. Peut-être éprouvera-t-il le vertige suscité comme un écho aux infimes mouvements de la caméra qui, malgré sa fixité apparente, ne semble pas avoir été posée sur un pied.

Plancher vacillant, soudain fragile, comme sont devenues ces « racines  cosmiques », de La Grande Motte à laquelle est consacré le film. Lucinda Groueff cadre en plan large les lieux ou plus précisément ces « incidents sculpturaux » conçus par leurs créateurs, Michèle Goalard et Jean Balladur, pour créer un « sol originel » à la ville nouvelle. Michèle Goalard se remémore en voix off les principes de ces réalisations à « valeur d’usage », réponses concrètes à la préoccupation de Jean Balladur de donner une « âme » à son architecture. Ils ont conduit à des formes symboliques très fortes, à la fois œuvres aux noms évocateurs – « Les Tramontanes », « Le Labech », « Les vagues », « La Terre » … – et éléments d’un terrain d’exploration et de jeux.

« Jeux interdits et dangereux », peut-on désormais lire sur des pancartes fixées sur les sculptures elles-mêmes. Puis la vidéo, par l’efficacité redoutable de son montage, nous donne à entendre le son assourdissant de voitures précisément là où elles sont depuis l’origine interdites d’accès. Cette collusion avec une vue du tracé piétonnier de Jean Balladur fait soudain émerger un doute quant au devenir des lieux.

Quoi de plus approprié qu’un bateau pour déstabiliser la perception des ancrages fragilisés par l’évolution des usages ?

Video art « RACINES » (18’16’’) de Lucinda Groueff, réalisée pour l’exposition « villes rêvées, villes habitées / URBAN UTOPIAS / La Grande Motte – Brasília – Chandigarh »
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Conférence 08-10-2015

Son

Conférence autour de l’exposition URBAN UTOPIAS présentée à Paris sur la péniche
« Louise-Catherine / Le Corbusier » en octobre 2015 à l’occasion de la sortie du livre:

villes rêvées, villes habitées

URBAN UTOPIAS

La Grande Motte – Brasília – Chandigarh

Stéphane Herbert & Carole Lenfant

Comment les villes du patrimoine moderne se réinventent-
elles après le temps des éloges et le feu des critiques ?

Médiation : Carole Lenfant
Co-auteur de l’ouvrage commissaire de l’exposition URBAN UTOPIAS

Intervenante : Fabienne Chevallier
Historienne de l’art et de l’architecture
« Chandigarh, Brasília, La Grande Motte, villes oniriques »

Intervenant : Gilles Ragot
Professeur en histoire de l’art contemporain
« La Grande Motte : l’hérésie contre l’orthodoxie moderne ? »

ECOUTER LA CONFERENCE

 

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TEASER

Vidéo

2015 © Bonne Idée Prod

Filmage le 1 octobre 2015 lors du vernissage de l’exposition présentée à Paris sur la péniche « Louise Catherine / Le Corbusier » pour le lancement du livre

Shooting on October 1, 2015 at the opening of the exhibition presented in Paris on the barge « Louise Catherine / Le Corbusier » for the book launch

villes rêvées, villes habitées
URBAN UTOPIAS
La Grande Motte – Brasília – Chandigarh
Stéphane Herbert & Carole Lenfant
Somogy éditions d’Art

 

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